Mandalay
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Toujours plus au Nord, après le Lac Inle, notre minibus a pris la direction de Mandalay. Nous n’étions pas très chaud pour retrouver la grande ville , le bruit et le chaos urbain. Après tout ce calme, cette nature si sereine… Au final, nous serions bien restés quelques jours de plus dans cette grande cité extrêmement accueillante.
C’est ici peut-être que nous avons rencontré l’accueil le plus chaleureux. Nous n’avions qu’à demander où trouver un peu de riz (ou simplement avoir l’air de chercher…) pour voir un attroupement de birmans se former pour nous venir en aide. Et toujours quelqu’un pour nous accompagner à destination. L’une de nos sorties au marché local avec Solal s’est transformée en . Nous avons mis plus d’une heure à nous extirper de cette foule d’hommes, de femmes et d’enfants tentant de bisouter notre Solal, de le prendre dans les bras, de lui pincer la joue, de lui offrir qui une banane, qui une carotte, qui un avocat, une orange ou un gâteau : notre repas de midi était tout trouvé !
De Mandalay, nous devions rejoindre Bagan en bateau sur l’Irrawady. Mais la saison sèche approchant, les eaux du fleuve étaient insuffisantes pour nous permettre de redescendre le fleuve. Qu’à cela ne tienne, nous avons embauché notre chauffeur pour une journée de plus et avons rejoint Bagan par les routes poussiéreuses du Myanmar.
Que de route au cours de notre voyage en terre birmane ! Des heures de routes chaotiques.
Et jusque là, nous avions voyagé dans le confort tout relatif de notre minibus. Le pire nous attendait une fois contraints de prendre les bus locaux ! On vous racontera...